Séparation, reconversion, fatigue intérieure, passages délicats.
Mettre des mots sur ce qui bascule.
Quand ralentir devient un acte de courage
Ralentir n’est pas toujours simple.
Dans un monde qui valorise la performance, l’action et la rapidité, ralentir peut donner l’impression de reculer, de perdre du temps, voire de faillir.
Et pourtant…
Dans les périodes de transition, ralentir devient souvent une nécessité vitale.
Le corps fatigue, le mental sature, le cœur cherche de l’espace.
Quelque chose en nous sait que continuer au même rythme n’est plus possible.
🐎 Le cheval nous rappelle cela avec une grande justesse.
Il vit dans l’instant.
Il ressent avant d’agir.
Il ne force jamais un mouvement qui n’est pas aligné.
À son contact, ralentir n’est plus une faiblesse.
C’est un retour au vivant.
Une manière de retrouver son axe, son souffle, sa présence.
Ralentir, c’est parfois le premier pas vers une transformation plus profonde.
Un pas nécessaire.
Un pas juste.
Ajouter un commentaire
Commentaires